Dying Light : The Beast s’annonce comme un retour musclé aux racines de la série, avec une sortie prévue pour le 19 septembre qui ravira les fans de survival horror.
Kyle Crane, le protagoniste emblématique du premier opus, fait son grand comeback après des années de captivité et d’expérimentations inhumaines. Transformé en une version surhumaine de lui-même, il gagne des pouvoirs inédits qui fusionnent parkour fluide et combats viscéraux, le tout dans un environnement ouvert infesté de zombies et d’humains hostiles. Ce retour narratif approfondit l’univers post-apocalyptique, en explorant les conséquences d’une mutation génétique qui booste ses capacités physiques tout en introduisant de nouveaux défis moraux et stratégiques.
Le gameplay évolue sensiblement, avec une emphase sur une exploration immersive dans les vastes étendues boisées de Castor Woods, une zone inédite regorgeant de secrets et de dangers nocturnes. Les mécaniques de stamina ont été revues pour intégrer ces pouvoirs bestiaux, permettant des sauts acrobatiques plus audacieux et des affrontements au corps-à-corps plus intenses, où les ennemis humains se montrent désormais plus tactiques en utilisant le couvert et en coordonnant leurs attaques. Le crafting reste au cœur de l’expérience, enrichi par des outils de survie avancés, tandis que les visuels next-gen subliment l’atmosphère oppressante, avec des effets de lumière dynamiques qui rendent les nuits encore plus terrifiantes.
Configurations PC : plus de RAM, plus de 4K
Côté technique, le jeu demande une configuration solide pour tirer parti de ses ambitions graphiques. Pour une expérience minimale en 1080p à 30 FPS, il faut au moins un processeur Intel Core i5-13400F ou AMD Ryzen 7 5800X, 16 Go de RAM et une carte graphique comme la GeForce GTX 1060 ou Radeon RX 5500 XT, avec 70 Go d’espace sur SSD. Les setups recommandés visent le 1440p à 60 FPS avec une RTX 3070 Ti ou équivalent, tandis que pour du 4K ultra avec ray tracing et génération de frames, on passe à 32 Go de RAM et des composants haut de gamme comme un Core i9-14900K ou une RTX 5070. Ce saut générationnel reflète l’évolution vers des performances plus exigeantes, pour immerger pleinement les joueurs dans ce carnage revisité.
Si votre machine est à la hauteur, ce titre pourrait bien redéfinir vos sessions de jeu en mêlant adrénaline et innovation, prouvant que la série n’a pas fini de surprendre.
